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Comment faire face à la tempête émotionnelle qui suit la perte d’un proche .

L’idée de ce post m’est venu, lorsque assise sur un banc de l’église, j’écoutais agacée le prêtre déblatérer lors de son homélie. Oui déblatérer, car comment dans un enterrement tu viens délirer « sur les spermatozoïdes du Papa qui ont percuté les ovocytes de Madame »…Tellement en mal d’audimat les gens, que vous ne savez plus quoi inventer pour capter l’attention !

Je n’irais pas plus loin dans l’analyse de cette homélie, car je suis une femme qui tâche d’être cohérente entre son discours et ses actes, et dans un lieu où on te parle de croire aux miracles et d’avoir la foi, la foi se manifeste par une personne par banc ! Je laisse ça là pour ceux qui veulent honnêtement réfléchir sans polémiquer inutilement…

Revenons à mon sujet initial

Il y a une semaine, alors que mon meilleur ami sortant tout juste de l’hôpital avec une opération en urgence ! J’étais submergée par la douleur, en apprenant brutalement en pleine nuit le décès de plus qu’un ami, un frère, un grand frère ! Un véritable coup de massue.

Bien que je sache que l’âme est éternelle, que la mort est juste un passage entre deux mondes, il est donc toujours présent mais sous une autre forme, cela n’en demeure pas moins difficile.

J’ai beaucoup pleuré, mais je savais aussi qu’il fallait que je ne demeure pas trop longtemps dans cet état qui non seulement baisse mon taux vibratoire d’une part mais qui lui nuit d’autre part.

Le saviez-vous ? L’âme des défunts ne restent pas sur Terre, elle voyage ailleurs au bout d’un certain temps. Et Il faut savoir que lorsqu’on demeure inconsolable des mois voire des années durant, on empêche à l’âme du défunt de continuer sa route, on le retient prisonnier par nos larmes, et on bloque son évolution.

Alors comment moi Femme-Médecine, j’ai géré cette douleur?

Cette tristesse qui si elle s’installe nous rend malade. J’en sais quelque chose car il y a quelques années moins sage, moins éveillée… en proie à un immense chagrin, je fis un AIT. Aujourd’hui, face aux écueils de la vie ma réponse est différente. C’est la raison pour laquelle je vous partage mon expérience.

Quels sont les secrets de la résilience, quelles méthodes j’ai mis en place.

1- La respiration consciente, c’est un des indispensables.

2- Cultiver la connexion avec les 5 éléments : Se connecter à chacun de ces éléments qui nous composent fait partie des méthodes de soins chamaniques ancestrales.

Terre : Lorsque l’on est bien ancré, on reste égal en toute situation, même extrême.

Eau : lorsque vous noyez dans vos émotions, il vous faut ouvrir votre cœur et laisser couler.

Air : l’air chasse les inquiétudes, allège.

Le feu : le feu réchauffe le cœur et vous redonne vitalité.

L’espace : l’espace est immense, il permet de tout accueillir.

Méditer avec chacun de ces éléments de la Nature dans des endroits puissants vous permet de revenir rapidement à l’équilibre.

3 – Les plantes pour la douleur de l’âme .

Les plantes ont ce qu’on appelle plusieurs niveaux c’est-à-dire qu’elles agissent sur le corps, le mental ou et le spirituel. En tisane ou en bains, les plantes ont la propriété d’apaiser la colère, diluer la douleur, ramener la joie, laisser le négatif du passé…

Ces 3 méthodes combinées avec une cure de musique (pas n’importe quelle musique bien-sûr) et de chants m’ont permis en 9 jours de remonter la pente. Je ne dis pas que la durée sera la même pour tout le monde, chacun étant différent mais il est sûr que cela vous aidera énormément.

Que chacun de vos pas soient guidés par l’Amour et la Lumière.

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